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isotta72
view post Posted on 3/8/2010, 21:25 by: isotta72     +1   -1




Ringrazio infinitamente Venusia71 e Runkirya!!!!



La nuit avant le départ.
Goldorak-Grendizer

C'était en pleine été, l'air était tiède et parfumée par l'herbe à peine fauchée et ce parfum entra dans la chambre avec le striduler des cigales... ces choses l'aient toujours transmis beaucoup de sérénité, ainsi que les notes de la guitare qu'elles l'aient accompagnés vers le sommeil pendant les plusieurs soirées sans-souci... mais non cette fois: l'angoisse était accablante e ce qu'elle avait en se-même détonnait inexorablement avec les sensations que les bruits et les odeurs veuillent le transmettre.

Le jour après ils seront parti. Hors d'ici, pour toujours.
Sa vie sera changée pour toujours.
Les hommes ne sont pas fait à rêver l'éternité.
Pour toujours, c'était une idée trop lourde à tolérer.
Le ciel bleu, plein d'étoiles, où ils aient volé ensemble plusieurs fois, l'aurait englouti, pour ne le rendre plus.

Il l'avait lui dit quelque jour après, parfaitement, comme seulement il aurai pu faire. Il l'avait tenu dans ses mains, par une de ses rares manifestations d' amour
Ses yeux bleu, trop beaux à blesser, l'aient soustrait sa âme, afin de comprendre ses réactions. Et elle se senti déchirée dans sa âme, elle senti un tel chagrin qu'il le provoqua la nausée, mais elle avait tenu le contrôle, pendant qu'elle se senti annuler.

Pendant ces ans, elle était devenue grande, elle n'était plus la petite fille pleurnicheuse et têtue d'un temps. Elle avait appris, surtout par lui, à contrôler ses émotions, à acheter confiance en ses possibilités, à réagir plus rapidement...elle passait de tirer le lait de les chèvres à piloter un combat-moyen très puissant. Oui! Elle!

Et, dans le même moment, elle avait appris à se résigner à l'idée qu'il ne sera jamais été le sien.
Il ne sera jamais été de quelqu'un dans ce monde... on était devenue toujours plus évident jour aprés jour.

Ses moyens gentils, sa générosité sans limites, sa disponibilité à aider et à écouter étant la barrière, la plus solide, qu'il pouvait ériger par rapport au monde avec lequel il ne pouvait pas, ni voulait, se fondre. Le voile de mélancolie, qu'il ne voulait pas lasser ses yeux, était la projection de cette distance.

Sa amitié avec Koji était profonde mais sans confidence, le parfait équilibre entre le respect et la complicité que campait son rapport avec Dr. Procton, les moyens gentils et délicats pour elle, sans jamais l'effleurer, non plus par les mots... il n'a été jamais appartenu à quelqu'un de ses amis.
Et ça elle le savait bien.

Pour toujours.

L'homme avait laissé naître de sa part tous les sentiments qu'une femme pouvait éprouver, le désir, l'attraction, mais elle était aussi soeur, amie, fille, et enfin l'amour, oui, quel amour qu'elle ne savait pas définir, peut-être maternel....un enchevêtrement de sensations que l'avait accompagnée dans le cours de toutes ces ans.

Combien de fois, elle l'avait désiré, quand elle l'épierait en cachette, pendant lui se rafraîchirait à la fontaine devant le fenil, torse nu, depuis avoir travaillé sous le soleil....


Combien de fois, elle avait prouvé une tendresse infinie, quand elle l'avait vu renfermé derrière l'écurie, avec les yeux brillants, son regard perdu dans les couleurs du coucher de soleil. Comme les coucher de soleil d'Euphore.
Et combien de fois, elle avait prouvé joie, quand ils chevauchent libres par la prairie. Et combien de orgueil, elle avait prouvée, quand, enfin, elle avait pu lui aider en bataille.

Elle n'avait pas vécu avant de sa arrivée ainsi qu'elle aura terminé de vivre à compter de le jour de son départ.

Pour toujours...

Elle quittait son lit. Cette fois elle sera allée chez lui. Elle ne l'avait jamais fait, afin de ne pas enfreindre ces moments de solitude qu'ils étaient lui si chères.
Elle arrivait chez lui au sommet de la colline. Il était pieds nus et il plongeait ses pieds dans l'herbe, ses mains se mouvant lentement sur les cordes de sa guitare.

«Venusia... qu'est-ce que tu fais ici? C'est tard. » Il le dit, en s'essuient les yeux avec le paume de sa main.

Elle s'assoit à côte de lui. Elle le regardait, L'air levait l'herbe et ses cheveux. La lune éclairait ses traits, forts et minces au même tempe... il était très beau.

Actarus posait sa guitare, ses doigts effleuraient par inadvertance la main de Venusia et instinctivement la serrait, en se tournant de sa côté.
Qu'est-ce qu'il était en train de lui passer? C'était comme s'il voyait la fille pour la première fois. Il se senti inexorablement attiré par elle, il avait la nécessité du contact physique, du chaleur d'un autre corps prés de lui, de donner et recevoir caresse. Cette sensation était en train d'exploser dans lui ainsi que lui rappelait des moments qu'ils étaient désormais très loin.

Il avait toujours tenu un détachement cordial. Au début il s'agitait d'une attitude instinctive et seulement jour par jour il avait compris le pourquoi.
Son sentiment à l'égard de la fille était augmenté lentement.
Les premières mois, depuis sa arrivé à la ferme, il se sentait encore trop lié aux rappels douloureux concernant ce qu'il avait passé. Depuis, quand le douleur s' attendrait et quand il avait commencé à comprendre qu'il pouvait vivre de nouveau, Vega arrivait et il faudrait se battre contre lui, mettre sa vie en jeu de nouveau.
S'il avait aimé, il aurait risqué de provoquer nouveau douleur. Son détachement émotif était la conséquence d'un constant exercice de discipline et de maîtrise de soi.

Mais, en cet instant, la discipline et la maîtrise de soi étaient seulement un tas de verres au fond de sa âme.
Il voulait la toucher, il avait nécessité de Venusia.
Il l'effleurait une joue avec le bout du nez. Il notait ses lèvres s'entrouvrir, il senti son souffle tiède et humide. .
Il la baisait, en l'approchant par une tendre étreinte.
Une chaleur très agréable inondait Venusia... s'agitait il de...excitement? Elle n'avait jamais prouvé une telle sensation. Ils se étendraient entre le gazon, sans arrêter de se baiser, et elle faisait ce qu'elle avait toujours désiré: elle lui caressait le dos, en lui passant sa main sous le tricot... et elle sourit en saisissant qu'il avait la chair de poule.

Sa peau était si doux, ses muscles bien défini se contractaient au passage de ses doigts, se dos se cambrait car le plaisir de telles caresses.

Ses cheveux, souples et parfumés, l'inondaient le visage, les lèvres tièdes le réglaient sensations indescriptibles. Il le prise la mains et la portait à son cœur, il avait le désire de le transmettre comme il battait comme un fou d'émotion.
Elle percevait le poids de son corps lui dessus et sa excitation le s'appuyer sur le ventre.
Ils continuaient se caresser, ils n'avaient pas la volonté de se fermer, les mains d'Actarus l'exploraient avec beaucoup de délicatesse, il le baisait le cou, le sein, chaque pas en avant a été fait avec une délicatesse et une crainte, qu'ils rendaient ces exploration toujours plus enivrants. Et elle l'encourageait où-t il n'aurait osé.

Il s'agitait de félicité, désir, passion qu'elle entraînait tous les deux.

Et pendant que leurs corps enfin se fondaient en déventant un seul corps, leurs émotions vibraient comme les cordes de la guitare.
Pour toujours...









God
Goldorak/Grendizer

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He hadn’t stoped him in time. That book was in his hands.
A present from a friend of his, a Toky Universiyt professor, it was printed to commemorate the victims of the two atomic bombs.
It was full of photos.

"Have you a god on earth?" the boy asked without looking up from those pages

"We have many, Duke, different people have different religions"

"Even your God has turned his head away"

"Man is free to act according to conscience, in every religion," said Umon.

Duke paused on a close- up photo of a child, whose face was disfigured.

"Are you able to love a god who allows these things?"

"I have a peculiar relationship with religion, Duke ..it is difficult to explain "

"Our God should have protected us, like Grendizer, they look the same.
Neither of them did. " he closed the book

"I have no place in me, for either of them, and this hurts," he said staring through eyes, the color of night, which Umon hadn’t got used to yet.

"There’ll be time for everything, you’ll see" he said, taking the book from his shaking hands.
The time for Umon had not yet returned, he hoped that the boy had more luck.

Edited by isotta72 - 11/10/2010, 10:34
 
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