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Isotta72 Fan Fiction Gallery ( English-French)

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isotta72
view post Posted on 4/8/2010, 23:22 by: isotta72     +1   -1




I have no words.. Venusia71 is fast like a shot..already translated..Thanks a lot!

Femme

Il est si près, comme jamais avant de quel moment.
Le silence et l'obscurité persuadent les sens à se concentrer seulement sur eux-mêmes, chaque perception de lui est amplifiée: le son de sa souffle en ses oreilles, le parfum de sa peaux, la chaleur du corps. Un main, encore timide, à l'effleurer son dos.
Elle ferme ses yeux et lui cherche avec ses lèvres, en se haussent sur la pointe des pieds, il l'accueille dans un embrassement, qu'il est, à tous les effet, l'accepter, enfin, et il le rende le baiser, qu'il devient au fur et à mesure plus profond, en annulent années de distances et de silences.

Elle aussi le serre maintenant, elle le fixe dans les yeux, comme elle n'avait pu faire jamais.
Des yeux jamais compris, qu'ils ont vu l'immensité du cosmos, qu'ils ont vu une telle douleur et un tourment incompréhensible, des yeux qu'ils ont vu choses qu'elle, peut-être, pouvait seulement comprendre.
Des yeux jamais creusés, une splendide porte fermée, derrière la quelle il a caché le monde de ses sentiments. Maintenant ces yeux ne la traversent plus en cherchent d'autre, mais la regardent directement. Par un sourire à peine ébauché, toute la complicité désirée de toujours et la chaleur du copartage.
Il l'effleure le front et la cherche de nouveau; un coup léger par la pointe du nez et les lèvres vont s'effleurer une autre fois. Ils jouent, elle s'éloigne, un coup d'œil de la durée d'un second. Il veux son sourire une autre fois et il est union tout de suite, car il s'agit d'une nécessité des deux, le contact est pour tout le corps.
Leurs cœurs, jamais si près, battent à l'unisson. Elle lui serre les épaules, elle lui caresse le dos, elle plonge le visage dans ses cheveux, sur sa poitrine, qu'elle semble de marbre et qu'elle parfume d'homme.
Tout à coup, il la soulève en la portant dans ses bras.
Elle est si légère que cette sensation de fragilité l'étonne, c'est de beaucoup de temps qu'il ne serre pas une femme. C'est beaucoup de temps qu'il ne fait pas quelque chose pour lui-même.
Et il n'y a rien d'autre dans lui. Pas des souvenirs, pas des sensations du passé: l'espace est tout pour sa visage, avec les traits frais et les yeux aimables, qu'il découvre seulement ici d'avoir toujours eu dans son cœur.
Ils s'étendent sur le gazon, un sûr abri de leur familiarité.
« ferme moi quand tu veux » murmure Daisuke
« Je n'y pense pour rien! » rende Venusia avec un sourire. Elle lui prends par le tricot et, en s'étendent, elle l'attire se-dessus
Combien de fois elle l'avait imaginé, étendue sur le lit dans la pénombre de sa pièce.
Combien de fois elle avait essayer de lire des yeux, des mains effleurées, des rares mots d'amour.
Et maintenant, elle s'en remet complètement à ses caresses et à ses explorations, en suivant le rythme des mouvements de son corps, complètement enveloppée de sa peau.
Elle n'a jamais si désiré, elle n'a jamais si senti, elle n'a jamais se senti si femme.



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5 replies since 3/8/2010, 21:25   2632 views
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